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entité

Centre de détention (commune, département)

  • FR78422804100033_000000018
  • Collectivité
  • 1975/2099

Les centres de détention créés par décret du 23 mai 1975, sont des établissements pénitentiaires faisant partis de la catégorie des établissements pour peine.

Centre de formation des personnels communaux (France). Délégation départementale (ressort)

  • Collectivité
  • 1972/1987

Le Centre de formation des personnels communaux (CFPC) est créé par la loi du 13 juillet 1972. Dans la lignée des lois sur la formation professionnelle, le dispositif repose sur la solidarité d’un financement mutualisé et sur une gestion paritaire. Premier établissement public national lié à l’ensemble des communes et établissements publics locaux, il devient le garant d’un système unique de formation et du recrutement sur la base des concours des personnels communaux.
A la suite des lois de décentralisation, qui créent un statut unique pour les personnels de l’ensemble des collectivités territoriales, communes, départements, régions, le Centre de formation des personnels communaux devient le Centre national de la Fonction publique territoriale (CNFPT), le 13 juillet 1987.

Centre de formation des personnels communaux (France). Délégation régionale (ressort)

  • Collectivité
  • 1972/1987

Le Centre de formation des personnels communaux (CFPC) est créé par la loi du 13 juillet 1972. Dans la lignée des lois sur la formation professionnelle, le dispositif repose sur la solidarité d’un financement mutualisé et sur une gestion paritaire. Premier établissement public national lié à l’ensemble des communes et établissements publics locaux, il devient le garant d’un système unique de formation et du recrutement sur la base des concours des personnels communaux.
A la suite des lois de décentralisation, qui créent un statut unique pour les personnels de l’ensemble des collectivités territoriales, communes, départements, régions, le Centre de formation des personnels communaux devient le Centre national de la Fonction publique territoriale (CNFPT), le 13 juillet 1987.

Centre de loisirs Dénomination (commune, département)

  • FR78422804100033_000000390
  • Collectivité
  • 1945/2099

Les centres aérés sont apparus après la seconde Guerre mondiale, il n'existe cependant pas de décret portant création des centres de loisirs. Il s'agit de l'ancien nom donné en France à un hébergement touristique organisé pour accueillir des groupes d'enfants. Les accueils de loisirs sont généralement organisés par des associations ou des collectivités territoriales mais également parfois par des comités d'entreprise ainsi que des particuliers. Chaque accueil doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services de la direction départementale chargée de la cohésion sociale ou de la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations. Durant les années 1980, les accueils de loisirs prennent une place de plus en plus importante dans les loisirs quotidiens de proximité. Les structures offrent des créneaux d'ouverture de plus en plus large.

Centre de ressource, d'expertise et de performance sportive Dénomination (commune, département)

  • FR78422804100033_000000391
  • Collectivité
  • 1941/2099

La loi du 21 mars 1941 créée un centre national ainsi que quinze centres régionaux de l'éducation générale et sportive (CREGS). Les CREGS sont transformés le 17 octobre 1945 en centres régionaux d’éducation physique et sportive (CREPS). Le gouvernement provisoire installe dix-huit CREPS. Le décret du 14 mars 1986 change l'appellation des centres régionaux d’éducation physique et sportive en "centres d'éducation populaire et de sport". Le sigle reste toutefois inchangé. En 2009 le nombre de CREPS passe de 24 à 16. Huit centres régionaux d'éducation physique et sportive sont donc dissous et rattachés à des établissements maintenus. Le 3 juin 2011 les CREPS prennent le nom de "centre de ressources, d'expertise et de performance sportives".

Centre de rétention administrative (commune, département)

  • FR78422804100033_000000414
  • Collectivité
  • 1981-2099

La mise en rétention a fait son apparition au début des années 1980 comme moyen de garantir la reconduite effective hors des frontières des étrangers en situation irrégulière, frappés d’une mesure d’éloignement.
Son développement s’est fait de façon relativement empirique, sans plan d’ensemble, cependant à partir des années 2000 un certain nombre de décrets ont fixé un régime juridique de la rétention judiciaire (19 mars 2001, 30 mai 2005).

Centre de séjour surveillé (commune, département)

  • FR78422804100033_000000080
  • Collectivité
  • 1939/1946

Motivé par le début de la guerre, l’internement administratif est rendu possible par le décret du 18 novembre 1939, et ses modalités sont précisées par un décret du 29 du même mois. Ces internements, dont la caractéristique est d’être décidés par le pouvoir exécutif, ministre de l’intérieur ou préfet, en dehors de toute instance judiciaire, peuvent être réalisés dans des centres spécifiques.

L’existence des centres de séjour surveillé (CSS), prévue pour n’être que provisoire, a été prorogée par une loi du 3 septembre 1940. Ces centres servent principalement à l’internement administratif, et progressivement à l’internement des Juifs, et de tout personne considérée comme se livrant à la « propagande anti-nationale ». C’est au préfet du département que revient la décision d’internement.

Les CSS sont autant gérés par le ministère de l’Intérieur, par le biais du Secrétariat général de la Police, puis par l’Inspection générale des camps, que par les préfets, représentants de l’État en province. En effet, ce sont pour la majorité des CSS des arrêtés préfectoraux qui viennent fermer ces centres.

À la Libération, l’internement administratif de collaborateurs, personnes étrangères ou qualifiées de dangereuses pour la défense nationale est autorisée par l’ordonnance du 4 octobre 1944. Cet internement peut s’effectuer dans les centres de séjour surveillé, dont l’existence perdure.

La fermeture des centres de séjour surveillé ne s’est pas effectuée dans le même temps pour l’intégralité des sites. Certains de ces centres ont été transformés pendant la guerre en camps d’internement des Juifs, ou de camps de transit vers Drancy. Si certains de ces centres ont également été fermés à la Libération, d’autres ont été conservés pour l’internement des collaborateurs et des étrangers. Les derniers CSS ont fermé en 1946, en conséquence de l’interdiction de l’internement administratif.

Centre de semi-liberté (commune, département)

  • FR78422804100033_000000019
  • Collectivité
  • 1963/2099

Les centres de semi-liberté et quartiers de semi-liberté reçoivent des condamnés admis au régime du placement extérieur ou de la semi-liberté. Le condamné détenu peut s’absenter de l’établissement durant la journée pour exercer une activité professionnelle, suivre un enseignement ou une formation, bénéficier d’un traitement médical ou s’investir dans tout autre projet d’insertion ou de réinsertion de nature à prévenir les risques de récidive.

Centre de traitement électronique inter-caisse

  • FR78422804100033_000000300
  • Collectivité
  • 1971/2015

Les Centres de traitement électronique inter caisse (CETELIC) sont créés par un arrêté du 23 août 1971, portant l’approbation d’une convention type entre les caisses primaires d’assurance maladie. De cette convention en résultent les CETELIC

Ce modèle de convention d’union de plusieurs caisses primaires d’assurance maladie (CPAM) organisé en 1971, est revu par un arrêté de 1984. La convention type est revue à plusieurs reprises ensuite en 1996 et une dernière fois en 2004.

Les modifications amorcées par ces trois arrêtés concernent principalement la composition et le rôle du conseil d’administration, du conseil de direction, ainsi que les rôles du directeur de l’union.

La création de centres de traitement informatique, résultant de la fusion de plusieurs CETELIC, conduit à la suppression d’ un certain nombre de ces centres. Cette fusion n’a pas lieu pour l’intégralité des sites dans le même temps.
Le dernier centre existant pour la région Pays-de-la-Loire ferme en 2015.

Centre départemental de gestion de la fonction publique territoriale (commune siège, département)

  • FR78422804100033_000000326
  • Collectivité
  • 1984/2099

Créés par la loi du 26 janvier 1984, les centres de gestion de la fonction publique territoriale se sont substitués en 1986 aux syndicats de communes pour le personnel communal.
La loi du 26 janvier 1984 prévoyait la création d’un centre national de gestion chargé des agents de catégorie A, de centres régionaux de gestion chargés des agents de catégorie B et de centres départementaux de gestion chargés des agents de catégories C et D. Toutefois, cette organisation n’a jamais fonctionné, du fait de sa complexité. Les centres régionaux de gestion sont supprimés dès 1985. En 1987, le centre national de gestion est dissous et ses compétences transférées au CNFPT (Centre national de la fonction publique territoriale). Ce dernier est chargé de la formation de tous les agents, ainsi que de la gestion et de l’organisation des concours des agents de catégories A et B. Les centres départementaux de gestion, quant à eux, sont chargés de la gestion et des concours des agents de catégorie C.
Les missions des centres de gestion ont été renforcées au gré des différentes réformes statutaires. La loi du 27 décembre 1994 dite loi Hoeffel, transfère une partie de la gestion et de l’organisation des concours des agents de catégorie B aux centres de gestion. La loi Hortefeux du 19 février 2007 a pour ambition de poursuivre la clarification de la répartition des missions entre le CNFPT et les centres de gestion, en confiant au premier la formation et aux seconds la gestion et l’organisation des concours de tous les cadres d’emploi à l’exception des agents de catégorie A+. Cette réforme de 2007 a également confié à certains centres de gestion une fonction de centre coordonnateur pour le compte de plusieurs centres départementaux.
La loi du 12 mars 2012 prévoit le transfert des secrétariats des comités médicaux et commissions de réforme des agents des collectivités territoriales affiliés de la direction départementale chargée de la cohésion sociale vers les centres de gestion.

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